Nom: Hastings
Prénom(s): Mary Elisabeth Hope Hastings
Date de Naissance: (nous sommes en 2017)15 Mai 2004
Origine: Française (mère sorcière) - Anglaise (Père moldu)
Baguette: Bois d'aubépine et plume de Phénix
Maison: Pas à Serpentard, pas à Serpentard...(Disons que si je pouvais éviter, sa m'arrangerais ^^')
Famille: Théodore Vaan, grand père (ancien auror). C'est tout ce qu'elle connaît.
Histoire:
Je connu pour la première fois les joies de la vie, il y a deçà 13ans environ. Ma mère était moldu, mon père sorcier ce qui faisait de moi une sang mêlée. Si je me souviens bien, père était un médecin à Charing Cross, ma mère dracologue, autant dire que ma famille était plutôt aisée. Nous habitions dans la banlieue londonienne, c'était un quartier très calme où l'agitation du centre n'avait aucune influence sur nos vies. J'y ai vécu une vie heureuse il me semble, les plus belles années de ma vie je crois! Dommage qu'elles ne s'élevaient qu'au nombre de 3. Je m'en souvient de mon troisième anniversaire, cette journée qui devait être joyeuse ne fut finalement qu'une grosse hécatombe. Mes parents, ainsi que tout les proches présents d'ailleurs, moldus comme sorcier, y laissèrent leurs vies tandis que je survécu. Que s'était il passé déjà? Le temps est passé, effaçant quelques détails mais l'ensemble des évènements je préserve encore. Je me souviens qu'il faisait nuit, le temps légèrement couvert par la grisaille londonienne. Il y avait l'allégresse du foyer autour de moi, les bougies, la magie, les chants, puis au moment du traditionel voeu d'anniversaire, je vis par la fenêtre un étrange éclat vert touché ma tante maternelle de plein fouet. Silence dans la pièce, ma mère frappé de stupeur ne put retenir son cri, seul les sorciers prirent leurs baguettes dans un frisson collectif. Noir soudain, la panique m'emporte par la poigne de mes parents sur mes bras. Je ne comprenais pas, je n'étais encore qu'une jeune enfant. Pourquoi m'enfermait on dans cette armoire? Pourquoi m'a t-on lancé ce sort qui pétrifie? C'est si désagréable! Ma conscience est encore active, ma vision toujours opérationnelle ce qui me laissait entendre des cris et voir ces lueurs verte traverser la serrure de l'armoire. Restait un tout petit détail, comment sortir de là?
Le temps passa, je n'ai jamais su le temps que j'ai passée là dedans. Quatre, cinq peut être même 6 heure sans boire ni manger, sans accès au petit coin ni aux loisirs. Bien sûr, ce dernier peut vous sembler bien futile mais mettez vous dans la tête d'un gamin de trois ans! Ainsi, privée de tout repère, jamais je ne sus le temps de mes pleures. Une porte s'ouvrit, ma fatigue était bien trop grande pour hurler ma détresse, je ne pouvais que sangloter. Cependant, une bonne âme entendit mon appel au secoure, ouvrit violemment les portes de ma prison avec espoir, me serra dans ses bras avec un soupir soulagé. Il n'eu aucune parole échangée, pas le moindre le mot, seulement nos regard se croisaient de temps à autre et ce, pendant de longue minutes. Mon grand père maternel, le seul membre absent de la tuerie par un miracle du destin. Je me souviens encore, de ses bras charnus qui me rappelaient étrangement ceux de Morphée, de cette manière rassurante de me prendre semblable à la berceuse des tout petits. Cet ensemble harmonieux me permit de trouver le sommeil qui me manquait, il me viens alors un amour envers cet homme, presque semblable à l'amour paternel. C'est à partir de ce jour que je fus élevée par mon grand père, dans le monde de la sorcellerie, aussi merveilleux que terrifiant. Bien sûr, nous ne pouvions vivre sur les lieux du crime, il n’emmena à sa villa située dans le Devonshire. La bas, magie et vie moldu s'accordait en un parfait mélange, je connaissais les pratiques de chaque mode de vie. Grand père tenait à ce que je grandisse au sein des moldus, surement voulait il rendre hommage à son gendre disparut. Mais bizarrement, il ne faisait que rarement mention à sa fille. Une honte? Un déshonneur? Je n'ai jamais pus savoir, ainsi, ai je toujours eu l'impression d'un lourd secret de famille. Je me souviens l'avoir entendu murmurer dans ses songes "Pourquoi Kathleen? Pourquoi avoir rejoint les man..." et il se réveillait toujours avant de prononcer la fin du mot. Parfois il variait en disant "Que dirait Alexandre? (Mon père) Tu as fait tant de vic....", et jamais ne finit. A ce que j'avais put comprendre, maman avait fait du mal auparavant, seulement grand père refusait catégoriquement de m'éclairer.
Lorsqu'enfin j'atteignis ma onzième année, une lettre atterri chez moi par chouette. Une lettre d'admission à Poudlard, cette fameuse école située au confins de l'Ecosse et où ma mère avait fait ses études. Enfin une bonne nouvelle, j'allais pouvoir partir de ce village ennuyant! J'étais si impatiente, si excitée que dés le lendemain, mon grand père et moi étions sur le Chemin de traverse pour les fournitures. Je souhaitais une chouette mais grand père, refusais catégoriquement de m'en acheter une car ils les jugeait trop sale et trop bruyante. Déçue, je me rendis chez Weasley's pour m'acheter quelques fournitures (utiles) et qui de mieux pour me renseigner que ce cher Monsieur Weasley? Voyant mon désarroi face aux articles, il me conseilla avec brio sur les farces à faire! Je riais aux éclats par ses blagues excellentes quand soudain, quelqu'un toqua à la fenêtre. Ce n'était autre que mon grand père, sa main montrait fièrement sa dernière trouvaille: une chouette blanche dont le soleil irisait les plumes de ses ailes avec superbe. Ma bouche s'entrouvrit face à un tel cadeau, je paya rapidement Monsieur George les quelques gadgets avant de courir vers la sortie. La chouette était plus belle encore vu de près! Seulement la semaine suivant les achats, il était temps pour moi de partir à l'école. Mon grand père me conduisit à la voie 9 3/4, traversant avec moi le mur d'accès au Poudlardexpress. C'était la première fois que je voyait autant de jeune de mon âge, ils étaient plutôt faciles à reconnaître avec leur taille et la façon don ils regardaient le train. Je faisais comme eux, mon regard était captivé son le charme désuet et la taille de la locomotive, jamais auparavant je n'avais croisée de tels train! Puis vint le moment de dire au revoir, cela faisait bien longtemps que je n'étais pas partie seule ainsi.
Et dire que je croyais les adieux difficiles, trouver une place dans un compartiment fut bien pire! Soit ils étaient complet, soit personne ne voulait de moi. Un instant je pris le reflet de la vitre pour miroir, mais rien ne clochait. Avais dit un mot de travers par les seuls "bonjour" que j'ai pus attribuer? Un manque de chance tenace ou une mentalité déplorable? J'allais abandonner au bout de quatre compartiments, quand je tombai nez à nez avec un solitaire. Timidement, je lui demandai de m’asseoir et je ne put obtenir de lui, qu'un simple oui. Il ne fut pas bien curieux envers moi, se contentant de quelques regards indiscrets, ainsi qu'une admiration constante du paysage enchanteur qu'offrait la machine à ses élèves.
Le discours commença étrangement par moi, qui suis d'habitude d'une timidité maladive, avec le basique des présentations "Comment tu t'appelle?". Enfin il me daigne un coup d'oeil sérieux! Sa réponse fut brève "Jamie Peterson" dit il d'une petite voix, s'ensuivit ensuite une longue et passionnante conversation où j'appris qu'il était d'ascendance moldu. Bientôt , la conversation fut rejointe par trois autres élèves en manque de place assises, Allen Carter né-moldu, Violet Lennart au sang pur et Peter Elder de sang mêlé également. Tous devaient entrer en première année, ils étaient comme moi. Nous faisions connaissance jusqu'à l'arrivée à Pré-au-Lard, là, nous prîmes les qui nous menèrent à Poudlard. Les lumières du château étaient toutes allumées, les autres années devaient nous attendre mais un des professeur s'occupa de nous expliquer la première année. L'explication fut longue mais plutôt instructive, aussitôt finit nous nous dirigeâmes vers la Grade Salle de réception où l'ont voyait les élèves plus âgés, réunis selon leur maison.
Aussitôt, nous fîmes groupés vers le centre de la pièce, comme il était d'usage, attendant fébrilement notre nom prononcé par l'un des professeurs. Le semblait nous fixer depuis son piédestal de tabouret, et les plis qui formaient ses lèvres, me semblais t-il, sourire face au stress qui nous accablait. Je me souviens d’ailleurs, des palpitations intenses, du souffle court lorsque j'ai entendu monsieur le professeur prononcer clairement et distinctement "Mary Hastings". Une fois sur ma tête, il fit une brève description psychologique de ma personne. Ses mots résonnent encore:
-Je vois, je vois....un courage caché, une timidité dont tu exècre l'existence, un belle détermination accompagnée d'une curiosité si développée qu'elle en devient problématique. Vive d'esprit je vois, tu me semble très susceptible cependant, te vexer est une tâche plutôt aisé! Je vois que le secours à autrui n'est pas une notion inconnue, elle me semble bien être une qualité chez toi. A mi chemin entre réflexion et témérité, tu me semble pencher en faveur de ce dernier. Eh bien Mary Hastings! Je me demande où je vais pouvoir t'envoyer!
Je dois dire qu'il a plutôt prit son temps avec moi! Sentait il le stress intense qu'il me faisait subir, à moins qu'il soit suffisamment malsain pour prendre un malin plaisir à me voir ainsi? Qui peut savoir? Il énonça à voix haute la maison qu'il m'avait choisit, avec joie je courais à la table qui m’accueillit avec une vive acclamation. Tout allais bien se passer...
Une année passa entre cours, retenues et bonnes notes en général pour moi. Niveau compagnie, je restais souvent avec les quatre enfant dont le compartiment avait été partagé le temps d'un trajet. Ils devinrent même les meilleurs amis que je n'avais jamais eu dans ma prime enfance, aussi, je savourais a leur juste valeur, les moments que l'ont partageait ensemble. Il eu cependant, plusieurs disputes, souvent pour des raisons stupide du genre "Mais! Tu m'a piqué mes dragées surprises!" "Il n'y a pas ton marqué dessus!" et autres bêtises de gosse. Je me souviens d'ailleurs d'une heure de colle donnée en l'honneur de ma curiosité. En effet, je m'étais approchée bien trop près du saule cogneur, celui ci à bien faillit m'écraser! Enfin, je n'étais pas seule, Jamie, Violet, Allen et Peter étaient avec moi à une distance raisonnable. A la deuxième année, j'étais plus déchaînée que la précédente! Autant dire que je rapportais autant de points à ma maison, que je lui en faisais perdre avec mes "expériences" du genre: farces en tout genre (mais toujours gentilles), me balader dans l'école en pleine nuit, bagarre entre élève (Il m'avait traité de Sang de Bourbe), usage de la magie en dehors des cours, etc.... Et oui! J'en ai fait voir des vertes et des pas mûres! Ce n'est qu'en duel que je réfléchis vraiment et autres situations exceptionnelles. A l'aube de ma troisième année, je suis toujours cachottière vis à vis de mes plus proches amis. En effet, je me garde toujours de leur parler des cauchemars qui hantent certaines de mes nuits. Quelques bribes de souvenirs, travesties par mon inconscient, mais toujours avec ce mot "vengeance" écrit sur les murs. Un jour, peut être, je comprendrais tout...
Physique:
Je suis une jeune fille qui depuis cette année, fête ses treize années d'existence. Ma silhouette est à mi-chemin entre mon corps d'enfant et la jeune adolescente, ma taille n'est que d'environ 1m45, peut être même 50 au plus. De toute façons, je ne me suis jamais mesurée, ni pesée d'ailleurs. Je suis d'une taille fine naturelle, la poitrine grandissante déjà bien développée pour mon âge forme une légère courbe sous ma chemise. Et si on regarde plus haut, vous pourrez apercevoir mon visage. Que dire sur lui? Mes cheveux long et épais sont difficile à coiffer car ils bouclent, d'ailleurs, les jours de pluies sont un véritable enfer capillaire! La seule qualité que j'aime chez eux, c'est bien leurs belle couleur doré, semblable, si je puis dire, aux rayons du soleil aux aurores. Encadré par cette dorure naturelle, se trouvent mes yeux de couleur bleu ciel, dont la couronne autour de la pupille joue avec les nuances tirant vers le gris. Mon grand père me l'a souvent dit "la couleur de ton père et la forme de ta mère qui te donne un petit air félin". Je crois qu'il parlait de la forme, une légère ressemblance avec ceux des félins. J'avoue n'en avoir fait jamais le rapprochement, c'est dire!
J'ai le nez fin, légèrement retroussé, au dessus de mes lèvre pulpeuses adaptées à la forme de mon visage, ovale quoique je le trouve encore arrondi par l'enfance. Quelques boutons d'acné viennent deçà, delà, venir jouer les indésirable mais en générale, il ne durent pas bien longtemps. Un peu de Bubobulb et l'affaire est réglée!
Fiche membre
Surnom/Nom: Tiny U_U/ Julie
Âge: 16ans et 2mois
Où avez vous connu le forum? Et bien, à vrai dire, par le fruit du hasard! Sur un top site, je me suis trompée et j'ai cliqué ici. Peut être un signe du destin? ^^'
Avatar: (Je n'en suis pas du tout fan, je la trouve jolie seulement)